Comment choisir la position des implants mammaires ?

implants mammaires

Publié le : 19 octobre 20206 mins de lecture

Une belle allure et une belle silhouette ! Qui n’en veut pas ? L’allure d’une femme se définit par sa poitrine et son postérieure. Grâce aux avancées de la science, la chirurgie esthétique a connu une grande évolution et devient très primée. Homme, femme, voulant changer leur morphologie peut accéder à cette nouvelle science étant donné qu’elle n’est plus très coûteuse. La Thaïlande, la Chine et les pays européens sont connus pour effectuer de la chirurgie esthétique à prix modéré. Parmi les différents types de chirurgie, les implants mammaires sont ceux qui attirent le plus les femmes. Alors pour ne pas se tromper sur le choix de l’implant des prothèses, quels sont les critères relatifs à chaque position ? Un choix qui se fait en fonction de la morphologie des seins.

La position « rétroglandulaire » et  la position « rétropectorale » : deux loges possibles pour un implant mammaire.

Déterminer la place des prothèses à l’avant ou à l’arrière des muscles varie en fonction de l’état des seins à opération. Mais avant toute chirurgie, une première consultation est nécessaire afin de déterminer si l’augmentation mammaire est possible ou non. En premier lieu, on parle de position « rétroglandulaire » lorsqu’il est question d’insérer la prothèse en avant du muscle pectoral. Le chirurgien esthétique procède à ce type d’implant lorsque la patiente présente une épaisseur de glande suffisante pour camoufler les contours des prothèses mammaires. Ces critères remplis, les résultats qui en découlent seront parfaits. Certes, dans ce cas d’implant, l’épaisseur de la glande risque de diminuer au cours de la vie de la patiente lorsque cette dernière se trouve en ménopause, ou suit un régime amincissant, etc… Ce type de chirurgie présenté sur www.cliniquebeaucare.fr est déconseillé chez les personnes sportives sachant qu’il y a un risque de déplacement des prothèses. Il est question de faire une intervention en arrière du muscle pectoral ou position « rétropectorale »  suivant quelques critères. Pour un effet naturel  avec une palpation de seins sans visibilité de chirurgie, la position rétropectorale est l’idéale. Idéale surtout lorsque la patiente est mince et à petits seins. Cette forme d’insertion de prothèse en arrière du muscle pectoral  permet de recouvrir cette dernière avec le plus de tissus possible. À cet effet, des meilleures sécurités au niveau de la cicatrisation sont apparentes et esthétiquement parlant, les contours des seins sont adoucis, l’affaissement ultérieur diminue.

La position « Dual plan »

Différemment de la position rétropectorale et de la position rétroglandulaire, la position « Dual Plan » consiste en une insertion d’un implant à la moitié en haut et en bas, derrière le muscle de la zone de décolleté. Il s’agit de positionner  une première partie d’un implant dans le muscle du haut  et une deuxième partie vers le bas des seins. Cette forme d’opération permet d’obtenir une forme naturelle des seins dont plus de 80 % des patientes la choisissent. Devenu le choix principal des femmes en matière d’implants mammaires, le Dual Plan prône le marché de la chirurgie esthétique des seins. À l’heure actuelle, il n’y a plus besoin de toucher aux muscles pectoraux, mais implanter les prothèses devant les glandes mammaires. Le choix de cette position d’implant se justifie par la sensation et la visibilité de raffinement supplémentaire de seins. Un succès qui s’explique par le fait que le reliquat inférieur fait office de hamac, maintenant la prothèse de bonne position. Néanmoins, cette technique minutieuse est plus élaborée et plus onéreuse que les autres positions.

Le choix d’autres loges pour implant mammaire

Les implants mammaires ne sont pas les mêmes pour toutes les formes de seins et varient en fonction de la morphologie de celle qui souhaite faire de la chirurgie. On parle de position d’autres loges compte tenu du fait qu’elle échappe aux précédentes catégories. Cette chirurgie se fait au-devant des muscles des seins en fonction de certaines formes de seins. Appelée également position « prépectorale », cette position est conseillée aux patientes qui disposent beaucoup de graisse afin de dissimuler la prothèse. Elle touche dans la moyenne, 10 à 20 % des personnes désireuses de se refaire les seins. Ainsi, il suffit de laisser le volume de la prothèse jouer tout son rôle. Et une fois l’implant posé correctement comme il le faut, le résultat est spectaculaire.

 

 

 

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